Le sélectionneur entraineur des Lions Indomptables a été reçu ce mercredi 11 septembre 2024 par le ministre d’Etat, Secrétaire général de la présidence de la République sur haute instruction de Paul Biya, qui lui a renouvelé sa confiance.
Marc Brys, le sélectionneur entraineur des Lions Indomptables bénéficie de la très haute considération de Paul Biya. De source bien introduite, le Belge de 62 ans a été reçu ce mercredi 11 septembre 2024 à Etoudi, le palais du peuple camerounais, ceci sur haute instruction du président de la République du Cameroun.
Sur le coup, Ferdinand Ngoh Ngoh, le ministre Secrétaire général à la présidence de la République a demandé au patron du banc de touche camerounais « l’état de sa situation », il a rassuré l’homme aux quatre matchs sans défaite que celui-ci bénéficie de la très haute confiance de Paul Biya, le premier sportif camerounais.
Dans la même lancée, le capitaine des Lions Indomptables, Aboubacar Vincent et le défenseur Michaël Ngadeu ont été reçus par le Secrétaire général de la présidence de la République, Ferdinand Ngoh Ngoh qui a également pris le pouls au sein de la tanière des Lions Indomptables. Difficile pour le moment de savoir si cette rencontre au sommet va permettre de ramener la paix au sein de la tanière des Lions Indomptables.
On se souvient qu’à son retour de Kampala, Marc Brys, le sélectionneur entraineur des Lions Indomptables avait soutenu qu’il démissionnerait si la situation ne rentre pas dans l’ordre avant le prochain regroupement des Lions Indomptables. En octobre prochain, les Lions Indomptables seront de nouveau sur le pont pour deux matchs contre le Kenya.
Le niveau de pourriture du Cameroun est tel qu’il n’y a plus rien à y faire
« Il faut s’attendre à un nouvel épisode de cette mauvaise série. Rien ne semble indiquer qu’une personnalité au Cameroun trouvera la force et le courage d’y mettre un terme pour sauver ce qui reste encore de l’image du pays. Manifestement résigné, le gouvernement semble avoir acté l’idée selon laquelle le niveau de pourriture du Cameroun est tel qu’il n’y a plus rien à y faire. Alors, à qui mieux-mieux », clame Jean Bruno Tagne.
source:https://actucameroun.com/
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